Vous pouvez le perdre, le tuer, courir après … autant d’expressions qui montrent bien notre difficulté à gérer notre temps.

Le mieux ne serait-il pas d’en gagner,  ou d’optimiser nos journées car  « Le temps est la ressource la plus démocratique qui soit, nous avons tous 24 heures dans une journée ».

Comment faire  entre les impératifs professionnels, la vie personnelle, familiale, comment concilier tout cela ?

Il existe plusieurs règles à connaître que nous avons développées dans notre article :

7 clés de la gestion du temps.

Au delà de ces éléments qui permettent d’éviter les pièges les plus fréquents, nous pouvons proposer les conseils suivants:

–          Se fixer des objectifs réalisables : sans objectif, impossible de planifier quoique ce soit. Par ailleurs, se fixer un objectif irréaliste revient à ne pas s’en fixer.

–          Hiérarchiser ses priorités : une priorité c’est ce qui passe avant le reste. La matrice d’Eisenhower est un outil qui permet cette hiérarchisation. Le principe consiste à combiner les notions d’urgence et d’importance. Nous avons toujours tendance à faire en premier ce qui est urgent ou ce que l’on croit être urgent. Ce qui mérite d’être prioritaire c’est ce qui est à la fois urgent et important.

–          Anticiper et planifier en évaluant la durée des tâches à accomplir.

–          Communiquer avec ses équipes et avec son entourage : personne ne devinera ce que vous voulez si vous ne le dites pas !

–          Dire non aux voleurs de temps : savoir dire non à une tâche qui n’entre pas dans votre mission principale, à un collègue qui vient vous déranger pendant que vous travaillez sur un dossier urgent et important.

–          Apprendre à déléguer : au travail mais aussi à la maison … le plus dur c’est le premier pas.

–          Faire une todo list : prendre 5 minutes par jour pour faire la liste des choses à faire en numérotant les priorités est simple et permet de garder le cap des objectifs fixés.

Gérer son temps c’est aussi faire le point sur sa propre relation au temps. C’est parfois impliquant et cela remet en cause l’idée que nous avions de notre relation au temps, de notre fonctionnement, et de notre relation aux autres.