Les parcours professionnels s’allongent, les employeurs se multiplient et il n’est plus si rare d’être en mauvais termes avec l’un de ses anciens employeurs. Faut-il en parler en entretien d’embauche ? Comment aborder cette question ? Voici quelques conseils.

– Le conflit avec un ex-employeur est devenu un sujet classique en entretien, mieux vaut donc prendre les devant et en parler plutôt que de le cacher et de ne pas donner de références.

– Plus qu’à la situation, le recruteur va s’attacher à votre position par rapport à ce conflit. Soyez clair sur ce point, montrez que vous avez du recul.

– Même si vous ne donnez pas explicitement de références, rien n’interdit au recruteur d’aller les chercher. Par contre, cela éveillera surement sa curiosité.

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A l’heure du recrutement mobile et des réseaux sociaux, les salons de recrutement peuvent avoir une image poussiéreuse. Pourtant, ils sont toujours efficaces pour prendre contact avec les recruteurs et les marquer.

Qu’attendent les recruteurs sur un salon de recrutement

Pour les recruteurs, participer à un salon de recrutement permet de rencontrer un très grand nombre de candidats en très peu de temps, dans un contexte très différent d’un recrutement classique.

La forte affluence lors de ces salons génère des attentes différentes que lors d’un entretien classique. Pour le recruteur, il faut que le candidat soit percutant dans un court laps de temps. Plus que son parcours professionnel, c’est son projet qu’il doit pouvoir synthétiser et présenter au recruteur en moins de 3 minutes. De même, les réponses aux questions doivent  être claires et concises.

Pour les candidats, le salon est une occasion rare de rencontrer les recruteurs en face à face sans présélection. Il est donc primordial d’être bien préparé à l’événement pour marquer le recruteur et pourquoi pas décrocher un entretien plus approfondi.

Salon de recrutement : 5 astuces pour les candidats

1. Préparer vos documents

C’est un conseil qui peut paraître évident, et pourtant ! Il est absolument nécessaire de venir à un salon de recrutement avec au moins un CV pour chacun de vos interlocuteurs. Prévoyez donc large pour ne pas vous retrouvez à court de documents. Si vous avez une carte de visites, c’est également l’occasion de la diffuser.

2. Demander les coordonnées de votre interlocuteur

Là encore, ça peut paraître trivial mais n’oubliez pas de demander la carte des recruteurs que vous rencontrez. Profitez-en également pour demander dans quels délais vous devez les recontacter et quelles informations ils attendent de vous.

3. Renseignez-vous !

Comme pour un entretien classique, vous devez préparer vos rencontres avec les recruteurs en collectant des éléments sur chaque entreprise, à commencer par ses services et ses besoins en recrutement : y’a-t-il des offres sur son site internet, quelles sont les missions proposées, qu’est-ce que l’entreprise produit, etc.

4. Entraînez-vous à vous présenter

Les recruteurs vont enchaîner les entretiens sur un format court. Vous devez donc être ultra-synthétique lorsque vous vous présentez. Parcours, projet, intérêt, n’hésitez pas à vous entraîner chez vous !

5.  Ne négligez pas votre tenue

Vous allez enchaîner les entretiens… de recrutement ! Il faut donc être habillé en circonstance et ne pas négliger votre tenue. Elle doit être en adéquation avec le poste que vous recherchez et doit rester confortable : n’oubliez pas que vous allez sans doute rester plusieurs heures dans ce salon !

Loin du parcours tout tracé qu’offre un emploi dans une grande entreprise, la start-up offre souvent plus de liberté, plus d’autonomie et de responsabilité, mais également plus de risque. Voici 9 raisons de tenter l’aventure !

1. La start-up dans le numérique, c’est l’avenir de l’économie !

2. L’ambiance est souvent plus cool qu’ailleurs

3. Les locaux sont sympas et souvent bien placés

4. C’est un peu le prolongement de l’université avec une ambiance campus

5. On peut organiser des fêtes dans sa start-up

6. L’erreur est souvent bien toléré

7. La performance est plus importante que le diplôme

8. Votre start-up pourrait bien devenir un jour… Facebook !

9. La France est très dynamique au niveau des start-ups

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